Les étoiles les plus filantes, Estelle-Sarah Bulle, éditions Liana Lévi
1958, le tournage d’Orfeu Negro, les lumières du show-biz, les favelas, une danseuse américaine et des acteurs choisis sur place, un footballeur au chomage, une brésilienne, une martiniquaise, la bossa nova, le racisme et la CIA. Roman de la trame derrière le film, dans un Brésil en pleine ébullition. PRV
Magazine de littératures et d'arts
Double marge
« Sans les écoles de commerce, les comptables, (...) sans le continuel travail des États pour répartir les tâches entre le public et le privé, (...) sans le dressage continuel par l'invention de nouveaux algorithmes, sans le formatage des droits de propriété, sans le rappel continuel des médias, personne n'aurait inventé des "individus" capables d'un égoïsme assez radical, assez continu, assez cohérent pour ne "rien se devoir" et considérer tous les autres comme des "étrangers" et toutes les formes de vie comme des "ressources".»
Bruno Latour